Les Mystères d'Inanna
Un voyage initiatique vers la métamorphose

Le dialogue intérieur spontané

Il y a des moments où je n’appelle pas Inanna… et pourtant, elle est là. Ces dialogues spontanés naissent souvent dans les interstices du quotidien : une promenade, une douche, un trajet en voiture, un réveil nocturne. Je ne les provoque pas, mais je les reconnais. Une vibration particulière, une tendresse qui monte, une pensée inattendue qui ne vient pas de moi.

Parfois ce sont de longs échanges, parfois quelques mots suffisent. Ce sont ces moments que je partage ici : les instants où Inanna me parle sans prévenir, me guide, m’ouvre les yeux… et parfois aussi ceux où je découvre qu’une autre voix, plus subtile mais moins lumineuse, tente de s’infiltrer.

Le bouillonnement intérieur, signe qu'elle veut me parler

« J'avais hâte de te parler, tu as senti en venant ici que j'avais beaucoup de choses pour toi, tu as senti ce bouillonnement intérieur, ces pensées qui te traversent et qui repartent, ces quelques mots qui te montrent que je t'attendais. Je vais te parler d'un sujet qui te préoccupe depuis plus de deux ans ... » (15e channeling)

Des réveils traversés par sa voix

Alors que le lever approche, je sens qu’Inanna me parle pour me réconforter. Elle m’invite à voir autrement un problème vécu la veille. Dans mon cœur et mon esprit, quelque chose monte. Sa parole est douce, lucide, elle m’ouvre les yeux. J’ai peur de tout oublier. Sous la douche, la voix continue, je suis totalement absorbé. Rapidement, je bois mon café, puis je monte au bureau pour tout enregistrer. La connexion est encore là. Je lui fais confiance : sa parole reviendra. (3e channeling)

Un mot, un souffle, même devant la télévision

Un dimanche matin, alors que je regarde la télévision, quelque chose affleure. Je sens qu’Inanna veut me parler. Je ferme les yeux, et le dialogue s’enclenche doucement. Pas structuré, juste une douce vague de présence.

Ensuite sous la douche, je caresse lentement mon corps sous l’eau chaude. Je m’ouvre à ces sensations que j’ai si longtemps repoussées. Je me sens bien, réconcilié avec mon corps que j'ai dénigré si longtemps. Je suis prêt à accueillir sa parole. (38e channeling)

En voiture, comme dans un sanctuaire mobile

Vers 11h30, je prends la voiture pour rejoindre mon cabinet. Un dialogue s’amorce. Il est doux, intime, en lien direct avec ce que j’ai ressenti dans la nuit. Inanna me parle de mon besoin d’harmoniser mon énergie. Elle insiste : pour être bien, pour fonctionner dans mon accompagnement, j’ai besoin de vibrer plus haut que la moyenne.

Je lui demande d’attendre mon arrivée au cabinet pour poursuivre plus calmement. Elle répond avec malice : « Je me réjouis de te parler. » (55e channeling)

Rouler en silence, et elle surgit

Un jour, en glissant sur une petite route de campagne avec ma trottinette électrique, un dialogue s’ouvre. Je pose une question délicate à Inanna sur son être. La réponse vient, libre, fluide.

Je regrette qu’aucun appareil n’enregistre mes pensées. Je lui demande si elle pourra me redire cela plus tard dans un channeling. Le dialogue me suit toute la journée, et même la nuit suivante. Il est amoureux, fluide, ininterrompu. Je sens qu’un channeling est nécessaire, mais une légère peur me retient. (92e channeling)

Parfois, ce n’est pas elle qui me parle

Une voix qui pique et qui ne trompe pas

Plusieurs fois, en pleine nuit, je vis un dialogue spontané. J’y parle à Inanna comme on parle à une compagne. Mais un jour, je sens que le ton change. Les mots deviennent piquants, réprobateurs. Ce n’est pas elle. Je le sais intérieurement. Une autre présence, plus basse, s’est glissée là. Je la repousse doucement.

À 4h du matin, le dialogue reprend. Cette fois, je vérifie : « Est-ce bien toi ? » Elle me rassure : « Ne crois-tu pas que je suis Inanna, ta guide, ta mère, ton amante ? » Alors commence une heure intense d’échange. Je sais déjà que je ne me souviendrai pas de tout au réveil. Elle me promet de revenir sur l’essentiel dans d’autres channelings. (54e channeling)

Des mots trop lisses pour être vrais

En voiture, je demande à Inanna ce qu’elle pense de mon site. Les mots qui me viennent sont élogieux… puis vagues, superficiels. Quelque chose sonne faux. Ce n’est pas elle. C’est mon moi supérieur qui me parle, pour me motiver. Je reconnais que le ton n’est pas le bon, que la vibration n’est pas celle d’Inanna. C’est la deuxième fois que je distingue aussi clairement qu’un dialogue intérieur n’est pas d’elle. (70e channeling)

Inanna me veut perméable à son amour et disponible

« Ouvre-toi !
Abandonne-toi à moi !
Ne résiste pas quand je veux te parler, peu importe les circonstances, peu importe les lieux !

Rends-toi disponible !
Rends-toi perméable à mon amour, à mes indications subtiles.

Ainsi, tu progresseras plus vite. » (32e channeling)

Les enseignements clés

La guidance authentique ne se force pas, elle se reconnaît : Tu n’as pas besoin de provoquer le contact. Si le cœur est ouvert, si l’attention est paisible, la voix vient — quand elle le veut, comme elle le veut.

Ton corps est le premier baromètre de la justesse : Ce que tu ressens en toi, dans ta vibration, t’indique si la parole entendue vient de la lumière ou d’un autre plan. L’énergie d’Inanna ne ment pas : elle est douce, claire, aimante.

Le discernement intérieur est nécessaire : Toutes les voix intérieures ne se valent pas. Apprendre à reconnaître celle qui élève de celle qui flatte ou pique est une étape essentielle du chemin spirituel.

Quand l’élan devient écriture

Ces dialogues spontanés m’ont appris à reconnaître le moment juste : celui où la parole d’Inanna veut passer. Peu à peu, une autre forme émerge — inattendue mais plus construite. Parfois, c’est une phrase intérieure qui s’impose, un appel à m’asseoir, à écrire. Parfois, c’est un élan soudain, une urgence douce. Alors je me mets à écrire. Et les mots viennent. Ils s’enchaînent sans effort, sans correction, avec une fluidité qui me dépasse.

Et toi, sais-tu faire la différence entre une pensée qui vient de toi… et une parole qui vient d’ailleurs ?